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Situé
près de l'entrée publique, le magasin de la poste
vend beaucoup de timbres et de cartes postales sur les animaux,
les fleurs et l'espace.
Dans le hall, les usagers disposent de trois boîtes aux
lettres, une pour le courrier international, une pour celui destiné
à Kampala et une pour les lettres expédiées
en Ouganda.
Au guichet des timbres, les employés pèsent les
lettres des usagers et cherchent le prix qui varie en fonction
du poids et de la destination de la lettre. Ils doivent connaître
les tarifs par coeur. |
A
la poste, on peut déposer une petite somme d'argent au
gichet de la caisse d'Epargne.
Du service des mandats, on peut envoyer de l'argent à
quelqu'un, n' importe où en Ouganda. |
Avant
d'entrer dans la pièce où se fait le tri postal,
les employés sont obligés de déposer leur
sac à main dans des casiers pour des raisons de sécurité.
Arrivé de la boîte aux lettres, le courrier à
expédier est oblitéré. Sur le cachet, il
est indiqué la date, "Kampala" et "Ouganda".
L'encre utilisée est spéciale : elle ne peut pas
s'effacer facilement.
Ensuite, les employés répartissent les lettres
dans des casiers portant le nom d'un pays en fonction de leur
destination. Pierre a placé la lettre que la mère
de Jean-Marc voulait poster dans le casier destiné au
Japon.
Enfin, on attache le contenu de chaque casier avec des élastiques.
Puis on le met dans des sacs étiquetés qui sont
envoyés à l'aéroport deux fois par jour.
Pour la surveillance, des caméras sont installées
dans tout le bâtiment. Un employé regarde sans arrêt
les deux écrans en changeant constamment de caméra.
Il utilise un interphone pour appeler chaque pièce à
partir de son bureau.
Le courrier qui arrive est trié et placé au fur
et à mesure dans les boîtes postales qui portent
des numéros à 4 chiffres. Nous avons distribué
les lettres dans les boîtes 2600 à 2699. |
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